LES AMBASSADEURS

Interview d’Aurélie Tailleux

Ils sont viticulteurs, arboriculteurs, oléiculteurs, jardiniers-paysagistes… Tous sont experts dans leur domaine et font confiance aux outils PELLENC au quotidien. Grâce à eux et à leurs retours d’expérience, nous poursuivons le développement de nos projets d'innovation dans des conditions optimales. Ce sont nos ambassadeurs et nous sommes très heureux de leur donner la parole aujourd’hui !  

 

 

 

AURÉLIE TAILLEUX

Métier : viticultrice et oléicultrice
Localisation : Piégon, 26
Matériel utilisé : Selion M12 et Telescopic, Olivion Power 48

« Le travail de l’olive est très intéressant, un peu comme pour le vin »

1/ Bonjour Aurélie, pouvez-vous vous présenter en quelques mots ?

Après une formation en tant qu’ingénieur en agronomie, j’ai repris l’exploitation familiale en 2018. Elle se compose de 14 hectares de vigne et 1,5 hectare d’oliviers. Mes cultures sont menées en agriculture biologique depuis 2010 pour les vignes et 2019 pour les olives. Je m’occupe également de la partie vinification et de la vente de notre production.

2/ Comment arrivez vous à mener toutes vos activités ?

J’ai un emploi du temps bien chargé ! Mais heureusement, l’olive et la vigne sont deux cultures relativement complémentaires. Lorsque j’ai un peu moins de travail viticole, notamment après les vendanges et le travail en cave, c’est là que je commence la récolte des olives.

3/ Quelle variété d’olives produisez vous ?

Des olives noires AOP Nyons et de variété Tanche que nous confisons, en partie, nous-mêmes pour les olives de bouche. Nous travaillons également avec des confiseurs pour transformer le reste des olives et avec un prestataire pour transformer nos olives en tapenade et affinade. Nous commercialisons également une huile d’olive très douce que nous pressons au Moulin de Haute Provence à Buis-les-Baronnies. Le travail de l’olive est très intéressant, un peu comme pour le vin. Il y a de la fermentation qui se joue, on peut avoir un vrai impact sur le goût.

4/ Quelles sont les grandes étapes de la culture de l’olive ?

Vers le mois de mars, je commence la taille et les premiers traitements au cuivre. Les bois de taille sont broyés directement sur la parcelle pour amener du compost naturel. En avril et mai, je mets un petit peu d’engrais pour accompagner l’arbre dans sa production. Puis, à partir de juillet, lorsque les premières olives apparaissent, je pulvérise un traitement naturel à base d’argile contre la mouche de l’olive. J’entretiens également l’herbe au pied des arbres, sans la détruire complètement pour que l’eau s’infiltre bien quand il pleut. Enfin, je récolte mes olives noires vers le mois de décembre, après les premiers gels.

5/ Quel matériel utilisez vous pour la taille ?

Jusqu’à l’année dernière, je montais dans les arbres et je taillais le gros et le vieux bois à l’aide de la petite tronçonneuse électrique M12 de PELLENC. Cette année, je me suis équipée avec le modèle d’élagueuse télescopique qui me permet de rester au sol. Je me sens plus en sécurité et je trouve que j’ai une meilleure vision d’ensemble de l’arbre et du résultat de la taille.

6/ Et pour la récolte des olives, qu’utilisez vous ?

Ça a beaucoup changé au fil du temps. J’ai des souvenirs de mes parents qui utilisaient des échelles pour monter dans les arbres. Ils récoltaient les olives avec à la main ! C’était très laborieux. Ensuite, il y a eu les premiers peignes vibreurs électriques, beaucoup plus pratiques et rapides. Le premier peigne que nous avons eu, c’était un PELLENC et nous le relions à une batterie de voiture. Maintenant, nous avons la batterie sur le dos. Et pour la récolte de cette année, j’ai utilisé le nouveau modèle de peigne vibreur à double peigne POWER 48.

7/ Qu’avez-vous pensé de ce nouvel peigne vibreur ?

Le fait qu’il possède un double peigne permet de mieux s’introduire dans les branchages. On se retrouve beaucoup moins souvent coincé et du coup on force moins sur les bras. Ensuite, il est très silencieux. Moi qui suis très sensible au bruit, c’est très agréable. Autre chose, lorsque le peigne vibreur n’est pas directement en contact avec les branches, il se met automatiquement en mode « économie ». Il ne vibre presque plus et ça c’est super important. Ça soulage énormément les bras et je suppose que ça permet aussi d’économiser la batterie. Le harnais de portage est très bien fait, la répartition du poids est excellente. Vous avez une autonomie très confortable, la batterie vous permet de travailler une journée entière sans problème. Et en plus, elle se recharge très vite, vous la branchez 5 heures et vous êtes prêt pour une nouvelle journée de récolte.

Vous êtes viticulteur
Vous êtes paysagiste
Vous êtes arboriculteur
et VOUS AIMEZ utiliser les outils PELLENC, le message qui suit est pour vous ! 

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