À partir des années 50, deux facteurs ont transformé en profondeur la vigne. Le recours à la chimie tout d’abord, pour lutter contre les insectes ravageurs et les maladies fongiques. L’utilisation des machines à moteur ensuite, qui a modifié la structure même des vignobles. En conséquence, les pratiques sont aujourd’hui à l’origine de profonds déséquilibres écologiques. Si bien que de plus en plus d’acteurs du monde viticole se mobilisent pour trouver des solutions alternatives.